La relativité
Je vous parlais dans le message précedent de la nécessité de réussir cette formation afin de négocier au mieux mon virage professionnel à 180°.
Après un repas avec mes "anciens" collègues, je vous le confirme, je n'ai pas le droit à l'échec.
Non pas que ceux-ci (les collègues) soient désagréables, non, non, bien au contraire, je vous assure, vous ne me ferez pas dire ce que je n'ai pas écrit. Ils sont fort sympathiques et constituent 90% des lecteurs de ce blog. Non, le problème est ailleurs. Le problème est que le simple fait de les entendre parler de mon "ancien" boulot me coupe l'appétit, me donne de l'urticaire, et génère une profonde angoisse. Même un lexomil le vin ne suffira pas à endiguer la crise de panique:
"NOOOOON, je veux pas y retourner!!!!".
"VITE! Appelez le 15 elle fait une attaque!"
"Euh... non, tenez, voilà le numéro du prof de secourisme..."
Là, je vois d'ici les 5% restant de lecteurs, qui ne sont pas d'anciens collègues, et ne sont pas très perspicaces (ou ne suivent pas bien le blog...), m'imaginer en train de casser des cailloux au bagne...
Je tiens à les rassurer de suite. Non, ce n'est pas le bagne, ni les galères, ni même la mine. Ça ressemble plutôt à ça:
Vous allez me dire: "Mais ça a l'air super!!??".
Et je vous répondrai juste: "Tout est relatif..."
(et puis de toute façon, chez Playmobil, ils ont TOUS le sourire!)